mars 1763.
destinée pour le baptistaire, l’autre pour le sanctuaire du saint-viatique. Elles sont décorées de huit colonnes corinthiennes, qui soutiennent une frise garnie de rinceaux d’ornements ; le tout est surmonté d’un plafond en coupole avec caissons et rosaces, séparés par des bandes à l’aplomb des colonnes.
La nef et les bras de la croix sont, de même que le chœur, percés d’arcades, dont les pieds-droits, ornés de pilastres corinthiens, correspondent aux arcs doubleaux des voûtes. Tous les piliers de cette église sont revêtus de marbre à hauteur d’appui[1].
CURIOSITÉS DE L’ÉGLISE SAINT-SULPICE EN 1789.
TABLEAUX.
Dans la première chapelle, à côté de la grande sacristie, une nativité et un concert d’anges ; par La Fosse.
Dans la troisième, une Sainte-Geneviève ; par Hallé.
Dans la chapelle des mariages, deux anges peints sur le plafond ; par le même.
Jésus-Christ bénissant les petits enfants ; par le même.
Une nativité ; par Carle-Vanloo.
Une présentation au temple ; par Pierre.
Une fuite en Égypte ; par le même.
Jésus-Christ au milieu des docteurs ; par Frontier.
Dans la sacristie des messes, une apparition ; par Hallé.
1 Voye