Page:Saint-Simon - Mémoires, Chéruel, Hachette, 1858, octavo, tome 20.djvu/380

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articles du contrat, 279 : bon office que M. de Saint-Simon rend à Laullez, ambassadeur d’Espagne à Paris, 280 ; son audience solennelle chez le roi, détails sur cette cérémonie, 280 et suiv. ; son discours, 284, réponse du roi, 285 ; audience chez la reine, 288 ; détails, 289 et suiv. ; audience chez le prince des Asturies, 292 ; par quelle ruse il parvient à précéder le nonce et le majordome, sans les blesser ; à la signature solennelle du contrat, 295 et suiv. ; sa conduite envers l’ambassadeur Maulévrier qui a voulu le compromettre en présence du roi et de la reine d’Espagne, 303 ; son étonnement à la vue de l’illumination de la place Major, 307 ; il va au bal que le roi a fait préparer ; description de la salle du bal, 308 ; trois évêques y assistent en rochet et en camail, 310 ; M. de Saint-Simon est forcé de danser pour complaire au roi et à la reine, 312 ; ses dépêches au cardinal Dubois ; réponse pleine de louanges mais où perce le dépit, 313 et suiv. ; audience particulière qui lui est accordée chez le roi ; ce qui s’y passe, 315 : il s’ouvre franchement au marquis de Grimaldo et gagne son amitié et sa confiance, en suivant le conseil que le marquis lui donne, 318 et suiv. ; va annoncer au roi et à la reine le départ de Mlle de Montpensier pour Madrid, 323 ; est introduit avec l’ambassadeur Maulevrier dans la chambre à coucher de Leurs Majestés qui les reçoivent étant au lit, 224 ; tous deux vont porter la même nouvelle au marquis de Grimaldo, 326 ; M. de Saint-Simon va présenter à l’infante la lettre du roi, 327 ; il prend ses précautions contre le prince de Rohan nommé pour faire l’échange des princesses de France et d’Espagne, 329 ; essaye de détourner La Fare de ses prétentions ; ce qu’il fait à cet égard est approuvé par le régent, 335 et suiv. ; sa conduite envers les Espagnols lui concilie l’estime et la considération de tous, 339 et suiv. ; sa visite au P. d’Aubenton ; accueil qu’il en reçoit ; comment il répond à la proposition que lui fait ce jésuite au sujet d’un confesseur du roi de France, 341 et suiv. ; embarras dans lequel le met le cardinal Dubois quant à ses dépenses ; comment il s’en tire avec honneur, 243 ; il se rend à Lerma où le roi et la reine sont allés ; description de ce séjour, 344 ; loge au bourg de Villahalmanza, 345 ; visite l’Escurial ; courte description de ce lieu ; ignorance et grossièretés des hiéronimites qui l’habitent, 351 ; appartement de Philippe II interdit aux curieux, 353 ; le pourrissoir, 354 ; sépultures royales, 354 ; petite scène entre M. de Saint-Simon et un gros moine sur la mort de don Carlos, 355 ; le panthéon, 355 ; M. de Saint-Simon retrouve à Villahalmanza son fils aîné convalescent ; il est attaqué de la petite vérole et soigné par le premier médecin du roi, 356 et suiv. ; sa guérison ; sa convalescence, 357 ; après le mariage du prince des Asturies il reçoit du roi la grandesse de première classe pour lui et un de ses fils et la Toison d’or pour l’autre, III, 260 ; assiste à la cérémonie de couverture de son fils ; description de cette cérémonie, 261 et suiv. ; est grand d’Espagne conjointement avec son fils, XVIII, 406 ; il voit dans le plus grand secret le duc d’Ormond, malgré les ordres précis qu’il a de ne pas le voir, XIX, 16 ; Sartine et le chevalier Bourck le pressent de procurer la grandesse au secrétaire d’État Grimaldo ; sa conduite en cette occasion, 43 ; il fait une visite à l’ancien ministre Ubilla, 58 ; sa visite à la marquise de Grimaldo ; politesse et dignité des Espagnols, 95 ; son embarras à la lecture des lettres du régent et du cardinal Dubois qui demandent pour lui la grandesse au roi d’Espagne et au secrétaire d’État de Grimaldo, 100 et suiv. ; quel parti prend ce dernier à ce sujet, 103 ; M. de Saint-Simon prévient le duc de Liria et le marquis de Santa-Cruz sur l’Altesse que le prince de Rohan veut se faire donner dans l’acte d’échange des princesses, 107 ; obtient pour la reine douairière d’Espagne un payement assez gros de l’arriéré qui lui est dû, 114 ; après sa convalescence il va faire la révérence et ses remercîments à Leurs Majestés Catholiques ; exécute auprès d’elles les ordres qu’il a reçus concernant la Toison d’or que l’empereur a donnée au fils aîné du duc de Lorraine, 115, 116 ; sa conversation avec Leurs Majestés, histoire que lui fait le roi sur le cardinal de Rohan, 117 ; sa visite au prince des Asturies, 119 ; il va saluer Mlle de Montpensier à Cogollos, 120 ; assiste à la cérémonie de son mariage dans la chapelle du roi à Lerma, 120 et suiv. ; après la cérémonie, le roi le fait grand d’Espagne de première classe avec son second fils, et fait son fils aîné chevalier de la Toison d’or, 122 ; ses remercîments ; sa joie ;