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suite d’une saignée au bras, 254 ; le chirurgien Maréchal le guérit et le raccommode ensuite avec le roi, 255 ; ses regrets de la mort de son ami, M. le duc de Montfort, 327 ; ses instances auprès de la duchesse de Lesdiguières pour la faire consentir à épouser M. de Mantoue sont inutiles, 336 ; s’oppose avec fermeté à ce que M. de Soubise mène le deuil à l’enterrement du maréchal de Duras ; pourquoi, 367 et suiv. ; il fait un mémoire contre la prétention du marquis d’Aiguillon au titre de duc et pair de France, duquel mémoire le roi adopte les conclusions, 387 ; va faire visite à la princesse des Ursins, 412 ; y retourne une seconde et une troisième fois, sujet de leurs entretiens, 414 ; il va ensuite presque tous les matins chez elle ; les attentions et les égards qu’elle lui montre ainsi qu’à Mme de Saint-Simon, étonnent la cour et augmentent leur considération, 426 et suiv. ; services qu’elle leur rend auprès du roi, de Mme de Maintenon et de la duchesse de Bourgogne, 428 et suiv. ; sa liaison avec l’abbé de Mailly, qui devient archevêque d’Arles, V, 45 ; et avec Gualterio, nonce du pape, 47 et suiv. ; il propose aux ministres un plan pour finir la guerre ; réponse que lui font le chancelier et Chamillart, 73 ; douleur qu’il ressent de la mort des deux fils de M. de Beauvilliers ; comment il soulage celle du père, 75 ; refuse de passer l’acte que M. de Cossé lui propose, 82 ; son procès avec la duchesse d’Aumont, 85 ; M. de Brissac y intervient, 85 ; le rapporteur Méliant reconnaît la justice de la cause de M. de Saint-Simon ; Mme de Saint-Simon reproche au duc de Brissac son mauvais procédé, 86 ; toute la cour félicite M. et Mme de Saint-Simon sur le gain de leur procès, 87 ; ils se rendent à Rouen où l’affaire est renvoyée ; état brillant qu’ils y tiennent, 88 ; M. de Saint Simon y publie partout l’ingratitude de M. de Brissac, 89 ; il se rend secrètement à Marly ; pourquoi, 90 ; comment il est secondé par M. de La Vrillière qui obtient pour lui un arrêt du conseil ; il retourne à Rouen, 91 ; gagne sa cause tout d’une voix, 91 ; il essaye d’ouvrir les yeux du duc de Beauvilliers sur le manége de l’abbé de Polignac, 97 ; sa prédiction à son sujet ; comment elle est reçue, 98 ; le nonce Gualterio lui apprend qu’il est destiné pour l’ambassade de Rome, 104 ; son étonnement, son irrésolution ; il consulte ses amis et les ministres qui lui conseillent d’accepter, 105 et suiv. ; les ministres l’engagent à se servir des avis de Mme de Saint-Simon, 108 ; éloge de cette dame, 109 ; pourquoi la déclaration de sa nomination est retardée, 110 ; puis annulée, 111 ; l’envie que cette nomination avait excitée lui devient nuisible ; comment on travaille à l’éloigner du roi, 112 ; et de Monseigneur, 113 ; il fait d’inutiles instances à son ami du Charmel de voir le roi, 124 ; il apprend par M. Pontchartrain, par la comtesse de Mailly et par le maréchal de Noailles l’ordre d’exil donné par le roi contre du Charmel, 127, 128 ; sa réponse au maréchal ; sa visite à Chamillart à ce sujet, 129 ; sa conversation avec Desmarets au sujet des papiers de Maulevrier, 154 ; et avec M. de Beauvilliers sur le commerce de Maulevrier avec la duchesse de Bourgogne, 155 ; sa conduite avec M. le duc d’Orléans depuis qu’il est rentré en commerce avec lui, 205 ; conseils qu’il lui donne sur la conduite qu’il doit tenir envers le ministre lorsqu’il commandera l’armée, 207 ; il veut le détourner d’ajouter foi et de s’amuser aux prestiges des devins ; histoire singulière et prophétique à ce sujet, 299 et suiv. ; sa correspondance avec M. le duc d’Orléans pendant que ce prince est en Italie ; manière surprenante par laquelle il apprend à la Ferté le désastre de Turin, 247 ; il se rend malade à Paris, y voit Nancré dépêché au roi par M. le Duc pour apporter le détail de ces tristes nouvelles, 248 ; écrit au prince pour lui faire des représentations sur le voyage à Grenoble des dames d’Argenton et de Nancré, 253 ; ses entretiens avec lui à Versailles sur l’état de l’armée en Italie, sur les officiers généraux, notamment sur La Feuillade, 254 ; il instruit M. de Chamillart des discours injurieux que le maréchal de Villeroytient sur lui, 351 ; M. de Chamillart lui fait lire des lettres qui prouvent l’injustice et les torts du maréchal, 352 ; M. de Saint-Simon essaye de rapprocher le fils du maréchal de M. de Chamillart ; réponse que lui fait ce dernier, 314 ; ses représentations au duc de Villeroy sont inutiles, 356 ; il obtient ! de M. de Chamillart le retour de Boisguilbert, envoyé en exil, pour son ouvrage sur un nouveau système d’impôt, 369 ; fait des démarches pour que M. d’Aguesseau le père ou son fils soit nommé pre-