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Chevreuse et de Beauvilliers pour lui à l’occasion de M. de la Trappe, 134 ; ses disputes avec le duc de Charost sur le même ; trait singulier, 134 ; devient père d’un fils à qui il fait porter le nom de vidame de Chartres, 174 ; ce qu’étaient autrefois les vidames ; comment le vidamé de Chartres tomba dans la famille de Saint-Simon, 175 ; M. de Pontchartrain, malgré l’inégalité d’âge et de rang, demande vivement au duc l’honneur de son amitié ; réponse de M. de Saint-Simon ; tous deux s’embrassent et deviennent amis intimes 196 et suiv. ; sa liaison avec l’évêque de Chartres et avec du Charmel, 198 ; il éclaire le P. La Chaise sur la conduite de D. Gervaise, abbé régulier de la Trappe, 204 ; raconte à M. l’évêque de Chartres tout ce qu’il sait de secret sur la conduite de D. Gervaise et sur ses intrigues, 206 ; va à la Trappe porter les bulles qui nomment son successeur, 210 ; obtient ensuite contre lui une lettre de cachet, 211 ; se décide à appuyer M. de Cossé, héritier du duc de Brissac, et à soutenir son droit de succession au duché-pairie ; sa conversation à ce sujet avec le duc de Rohan, 231 ; ses motifs désintéressés dans cette affaire, 232 ; refuse l’offre que lui fait M. de Cossé de le mettre hors d’intérêt sur le procès qu’il avait avec le feu duc de Brissac, 233 ; devient son conseil pour ce qui regarde la succession à la dignité de duc et pair, 235 ; va se plaindre au roi du traitement fait à Mme de Saint-Simon par Mme d’Armagnac, 242 ; devient père d’un second fils qui prend le nom de marquis de Ruffec, 287 ; comment il est indignement trompé et calomnié par le duc de Gesvres, à l’occasion de l’hommage lige de M. de Lorraine ; détails sur ce sujet, 347 et suiv. ; est justifié auprès de Monsieur et Madame, par Mmes de Maré et de Beuvron, 351 ; conseil utile que lui donne M. de Beauvilliers, 352 ; chagrin qu’il éprouve de la mort de M. de la Trappe, 446 ; dans un voyage qu’il fait à la Trappe, il voit Mlle Rose, célèbre béate, et l’abbé Duguet ; ce qu’il pense de la première ; ses promenades avec le second, III, 79 ; ses paroles dans une compagnie chez le maréchal de Lorges, sur une attaque d’épilepsie du médecin Fagon, 83 ; sa promenade avec Louville autour du canal, à Paris, 333 ; il Va voir les princes et les ducs avant de se faire recevoir au parlement ; accueil qu’il en reçoit, 360 ; évite trois piéges que lui tend le greffier en chef, 361 ; son régiment et sa compagnie étant réformés, il est mis à la suite du régiment de Saint-Moris ; va aux eaux de Plombières, est bien traité par le roi, 362 ; mortification qu’il éprouve de voir dans la promotion des brigadiers de cavalerie cinq cadets placés avant lui ; on lui conseille de quitter le service, 363 ; il consulte deux maréchaux et trois courtisans, leur avis unanime, 864 ; remet au roi sa lettre de retraite, 366 ; comment il est ensuite traité par le roi, 367 et suiv. ; se charge d’une préface pour la collection des médailles frappées en l’honneur du roi ; pourquoi cette préface ne paraît point, 389 ; époque de son intimité avec M. le duc d’Orléans ; pourquoi il se retire ensuite de ce prince, 423 ; sa liaison avec Mme de Fontaine-Martel ; cette dame veut le rapprocher de M. le duc d’Orléans, 424 ; une visite à ce prince renoue leur ancienne amitié, 425 ; il résiste aux avances que lui font M. et Mme du Maine pour se l’attacher, 427 ; comment il apprend que Mme de Maintenon ne l’aimait pas, 428, comment et pourquoi Mme de Saint-Simon se retire de chez M. et Mme du Maine, 428 ; M. de Saint-Simon va complimenter le ministre Chamillart sur le mariage du duc de Lorges avec la fille de ce ministre ; leur entrevue à ce sujet, IV, 70 ; leur franchise réciproque ; ils se jurent amitié, 91 ; avantage que M. de Saint-Simon retire pour lui-même de cette amitié, 74 ; sollicite les juges de l’abbé d’Auvergne dans son procès avec les moines de Cluny, 111 ; récit sur l’affaire de la quête à la messe et aux vêpres du roi, 222 ; Mme de Saint-Simon refuse de quêter, en quoi elle est soutenue par son mari, 224 ; le roi accuse M. de Saint-Simon de ne s’occuper qu’à étudier les rangs et à faire des procès à tout le monde, 229 ; M. de Saint-Simon se décide à parler au roi, 226 ; long entretien qu’il a avec lui ; comment il se justifie, 227 ; le roi se radoucit et le quitte en lui disant qu’il est content, 230 ; étonnement que cause aux ministres et aux courtisans la hardiesse de Saint-Simon, 231 ; le duc revient à Versailles et en repart aussitôt en apprenant ce que M. le Grand a obtenu du roi, 249 ; accident qui lui arrive à la