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envers le duc de Chartres, 176 ; donne à M. le Prince tous les avantages de premier prince du sang ; il augmente sa pension de 10 000 écus ; augmente aussi les pensions de Madame et de la nouvelle duchesse d’Orléans, 177 ; drape pendant six mois et fait tous les frais de la pompe funèbre de Monsieur, 179 ; sa conduite envers Burnon qui a empoisonné Madame, première femme de Monsieur, 183 ; malice du roi à l’égard de M. de Lauzun, 205 ; déclare au roi Jacques II mourant et à la reine son épouse qu’il reconnaîtra le prince de Galles comme roi d’Angleterre, d’Écosse et d’Irlande ; mauvais effet produit par cette déclaration, 328, 329 ; va à Saint Germain voir le nouveau roi d’Angleterre, 331 ; reçoit sa visite à Versailles, 331 ; ordonne à ses ministres de s’assembler chez le chancelier et au duc d’Harcourt de s’y trouver pour y débattre le pour et le contre du voyage du roi d’Espagne en Italie, 352 ; se décide pour le voyage, 357 ; fait une nombreuse promotion d’officiers généraux, 360 ; prend hautement et publiquement le parti du maréchal de Villeroy fait prisonnier, 377 ; accorde 1 000 livres de pension au major Mahoni et un brevet de colonel, 378 ; écrit une lettre obligeante au maréchal de Villeroy ; comble de bontés la maréchale, 380 ; nomme Catinat pour commnander l’armée du Rhin ; explication qu’il a avec lui et avec Chamillart sur les affaires d’Italie, 391 et suiv. ; déclare qu’il ne prendra pas le deuil du roi Guillaume et défend de le prendre aux ducs de Bouillon et aux maréchaux de Duras et de Lorges, 397 ; fait choisir dans toutes ses troupes six officiers de distinction, lieutenants-colonels, majors et capitaines pour être toujours auprès du roi d’Espagne son petit-fils, 411 ; donne gain de cause à l’archevêque de Rouen qui prétend soustraire sa métropole à la primatie de Lyon, 419 ; montre son faible pour les jésuites dans un arrêt rendu contre eux, 420 ; nomme chevalier de l’ordre cinq grands d’Espagne, le marquis de Villafranca, le duc de Medina-Sidonia, le comte de Benevente, le duc d’Useda et le cardinal Portocarrero auquel il envoie une croix de plus de 50 000 écus, 421 ; permet au comte d’Albert, à Pertuis et au marquis de Conflans, tous en prison pour duel, d’en sortir, mais sans rentrer au service » IV, 61 ; fait dix maréchaux de France, 79 ; donne 100 000 livres au maréchal de Villeroy pour ses équipages, 107 ; ne veut pas que Mme de Maintenon drape à l’occasion de la mort de son frère, ni que ses valets de chambre et ses femmes soient vêtus de noir, 126 ; accorde au duc de Chartres nouveau-né du duc d’Orléans la pension de premier prince du sang de 150 000 livres, 145 ; vend les charges de l’artillerie ; augmente les appointements de M. du Maine et lui donne 100 000 écus, 146 ; par des mesures secrètes et bien prises il fait désarmer et arrêter les troupes auxiliaires de M. de Savoie, 189 ; sa réponse à M. de Tessé au sujet des demandes que M. de Vendôme a faites à Sa Majesté, 204 ; sa colère contre M. de Saint-Simon au sujet de la quête des dames, 224 et suiv. ; long entretien avec M. de Saint-Simon, 227 ; il se radoucit et lui témoigne qu’il est content, 229 ; ce qu’il dit à Monseigneur au sujet de cet entretien, 232 ; sur la demande que lui fait M. le Grand de précéder les ducs à l’adoration de la croix, il décide que ni ducs, ni princes étrangers n’iront, 249 ; sa réponse à M. de Marsan qui lui demande le commandement de M. de Saint-Simon qu’il croit dangereusement malade, 255 ; fait à la princesse des Ursins une sévère réprimande de la hardiesse qu’elle a eue d’ouvrir les dépêches de l’ambassadeur de France, 265 ; soutient fortement le roi d’Espagne dans la résolution d’aller se mettre à la tête de son armée en Portugal ; s’oppose à ce que la reine l’accompagne ; envoie ordre à la princesse des Ursins de quitter Madrid et de se retirer en Italie, 267 ; accorde au duc de Beauvilliers 500 000 livres de brevet de retenue sur sa charge, 280 ; et un de 400 000 livres à La Vrillière sur sa charge de secrétaire d’Etat, 282 ; refuse d’approuver le choix qu’a fait l’Académie française de Troisville ou Tréville pour un de ses membres, 282 ; donne une grande fête à Marly à l’occasion de la naissance du fils aîné du duc de Bourgogne ; fait des présents magnifiques à la duchesse, 301 ; par qui il apprend la nouvelle de la perte de la bataille d’Hochstedt, 313 ; ses vives inquiétudes à cet égard, 313 ; il promet à M. le Prince tous ses bons offices pour faire réussir le mariage de Mlle d’Enghien avec M. de Mantoue, 335 ; traite en plein conseil l’affaire du mariage de la duchesse de Lesdiguières avec M. de Mantoue ; résolutions qui y sont prises, 338 ; le roi se