sont les rapports de subordination qui doivent exister entre ces deux classes de chefs, pour le plus grand avantage de la chose publique.
Je vais répondre aux deux questions suivantes :
Qu’aurions-nous dû faire ?
Qu’avons-nous fait ?
J’espère que mes réponses à ces deux questions tranquilliseront complètement les honnêtes gens sur mes intentions, et que, mon but leur étant suffisamment connu, je pourrai dans les livraisons suivantes développer mes principes et en tirer des conséquences sans causer d’inquiétude à personne, et sans en éprouver moi-même d’aucune espèce.
Je diviserai l’examen de ce que nous aurions du faire en quatre lettres, par la raison qu’il y a quatre choses que nous aurions dû faire, que nous n’avons pas faites, et qui méritent chacune de fixer séparément notre attention.
Nous aurions dû commencer par éclaircir nos