Page:Saint-Simon - Œuvres, vol. 4-5.djvu/249

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

gelmann, rue Louis-le-Grand, no 27. Octobre 1820.

Indiquée, ainsi que les deux pièces suivantes, dans le numéro du 4 novembre 1820 du Journal de la Librairie.

f) — no IV. Ire lettre sur les Bourbons. Au Roi et aux industriels. 8 pages grand in-4° lithographiées chez G. Engelmann. Octobre 1820.

Au bas de cette Lettre signée Henry Saint-Simon, on lit un post-scriptum ainsi conçu :

En relisant cette lettre, je m’aperçois que les expressions dont je me suis servi en parlant du protocole actuel de la Royauté, pourraient être mal interprétées. Mon but a été uniquement de faire sentir à Votre Majesté que la doctrine de la Royauté par la grâce de Dieu avait perdu toute sa force, et que par conséquent la Royauté devait chercher à s’appuyer sur des doctrines plus solides. Mais du reste, dans cette occasion, comme dans tout autre, loin d’attacher aucune importance au changement d’une forme quelconque, je suis et serai toujours disposé à respecter celles que la sagesse de la Royauté jugera convenables.

En imprimant cette lettre en 1821, Saint-Simon a remplacé