Page:Saint-Pol-Roux - L’Âme noire du prieur blanc, 1893.djvu/107

Cette page n’a pas encore été corrigée

père !… Mon fils !… > mais ils s’arrêtent brusquement en face l’un de l’autre, et ces mots expirent sur leurs lèvres.

BÉNÉDICT, s’éloignant du Prieur d’autrefois. Non, jamais !… jamais !… jamais !…

Le Prieur D’autrefois, se jetant sur

la dalle avec un rugissement.

Hun !…

Un silence.

BÉNÉDICT, l’âme déchirée.

Ma mère est sauvée, — mais lui… mon père… il est damné !…

Le Prieur D’autrefois, sur la dalle,

dans une douleur poignante.

Tu me fuis… c’est juste… ton aversion fait partie de mon châtiment. Va, je ne demande