Page:Saint-Point - L’Orbe pâle, 1911.djvu/135

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

à moins qu’il ne me plaise, de faire peur à qui est en sûreté, quand moi qui suis en danger, je ne redoute rien et qu’il m’agrée de tenter la mort.

Mais pourquoi me comprendrait-on ?

Et comme je m’ennuierais de moi, si l’on me comprenait.