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Ces délices vous sont inconnues, hommes livrés à la pente du torrent ; vous ignorez ce que c’est que la joie, comme vous ignorez ce que c’est que la douleur.

Vous vous transportez, comme l’enfant, à la vue de ces frivoles objets, qui vous attachent et vous amusent, et comme lui vous êtes étrangers aux maux dont la famille humaine est dévorée.

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Sectateurs de la poésie, si vous lisiez les écritures saintes, combien de merveilles ne vous offriraient-elles pas ! Vous y verriez des pierres parlantes dans les temples bâtis