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d’unité que tu tires toute ta force et tout ton effet.

Dans quelque état que l’homme se trouve, l’idée de l’éternité le poursuit, parce que tu es une, ô vérité sainte !

Pensée de l’homme, ne va pas plus loin. C’est assez pour toi d’arriver, par ta seule raison, à ces clartés, et de voir que le sentiment de l’éternité de la peine est indispensable dans le criminel, pour qu’il soit puni. Malheur à toi, si cela ne te suffit pas pour te rendre sage, et te faire trembler devant le Seigneur ! En attendant l’opinion la plus certaine, cherche la plus utile et la plus salutaire.

L’idée de l’éternité des peines est, peut-