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rains et des gouvernans ; la deuxième, de ce que je ne l’étais pas.

A force de dire : notre Père ! espérons que nous entendrons dire un jour : monfilsl

Pères, le sort de vos enfans est entre vos mains, soit au physique, soit au moral : car votre parole est sacrée, et si vous la maintenez dans sa fermeté et dans sa mesure, vous pouvez d’un mot chasser les maux et les vices de celui qui est votre image.

— Ce n’est, certes, pas aussi facile qu’il le pense.