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lèvres sur tes mains et qu’elles ne s’en séparent plus. « Où irais-je ? N’as-tu pas les paroles de la vie e’ter « nette ! »

On le voit, c’était du Rédempteur qu’il parlait.

3 W’est-il pas déplorable de songer que les écrits de l’ennemi, comme tu les nommes si bien, aient eu des réimpressions populaires, pour maintenir, propager et entretenir le mal, et que tes écrits salutaires languissent dans leur chétive et unique édition ?

Homme utile, tu as oublié d’être amusant, tu n’as pas flatté l’orgueil de l’esprit humain. Et voilà la cause, la cause !

•’> Nous ne sachions pas que, depuis 1807, époque à laquelle on publia les œuvres posthumes de saint Martin, il ait été question de lui autre part que dans quelques écrits de M. Sainte-Beuve, qui lui a voué une sincère et vive admiration….....

Une préface fut jointe à cette publication, ainsi qu’une notice qui nous donne trop peu de renseigne-