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Et nous aussi, conjurons nos semblables de ne pas rejeter ces pensées, sans en avoir éprouvé la valeur.

Se peut-il rien voir de plus tendre, de plus affectueux, que cette dernière page d’un livre entièrement inspiré par l’amour des hommes, et on peut le dire entièrement oublié, entièrement inconnu de presque tous !

Ce dernier vœu ne vous perce-t-il pas le cœur d’une amère tristesse ?

Puisse la vertu de leurs cœurs, la piété des siècles !... — oh ! mon Dieu, la piété des siècles l — être le cantique funéraire qui sera à jamais chanté sur ma tombe !!

Où est cette tombe ? qui a entendu ce