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d’engager mes semblables à porter leurs pas vers cet. asile des vraies et ineffables délices.

Si je n’ai que le denier de la veuve à leur offrir, pour leur aider à faire le voyage de la vie, je les conjure de ne pas le rejeter, sans en avoir éprouvé la valeur.

C’est avec une douce consolation que je les verrai cueillir ces faibles fruits des désirs d’un homme simple qui les a aimés.

Puisse la vertu de leurs cœurs, puisse la piété des siècles, être le cantique funéraire qui sera à jamais chanté sur ma tombe !

Je l’entendrai dans le sommeil de la paix, et j’en rendrai à mon Dieu tout l’hommage.

FIN.