Page:Saint-Martin - Esprit de Saint-Martin, 1836.djvu/149

Cette page n’a pas encore été corrigée


210

Quand est-ce qu’ils s’abandonneront à la main qui les soutient et les guide ? Quand est-ce qu’ils oublieront leur propre sagesse, et qu’ils se reposeront sur la seule base d’où s’élève la colonne éternelle de la vérité ?

211

Malheur à vous, mortels qui aurez passé en vain sur la terre, et qui n’y aurez semé aucune vertu !

Malheur à vous, qui aurez laissé votre pensée errante, et qui n’aurez pas trouvé que le soin de votre être fût assez pressant pour la fixer !

On ne dira point de vous : il a senti la