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mes lèvres sur tes mains, et qu’elles ne s’en séparent plus.

« Où irais-je ? N’as-tu pas les paroles de la vie éternelle ! »

170

Le Seigneur a dit : Je prendrai soin moimême de celui qui me cherche, de celui qui m’aime, ou désire de m’aimer. J’allumerai dans son cœur un feu semblable à toutes les ardeurs du soleil, et tout son être deviendra resplendissant de lumière.

171

Je supporterai sans murmure les langueurs de ma régénération ; je laisserai errer douloureusement mes pensées et les vœux de