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Mortels, n’est-ce que dans le silence de votre pensée que peut se trouver la paix de la nature ?

Dieu suprême, pourquoi laisses-tu plus long-temps dans cette terre fangeuse celui qui t’aime, qui te cherche et dont l’ame à goûté ta vie !

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Malheureux juges, pitoyables moqueurs de ce que vous n’étiez pas dignes de contempler, vous voudrez un jour pouvoir faire .oublier vos jugemens ; vous voudrez pouvoir les effacer par vos larmes, et vos larmes ne les effaceront point.

Vos écrits propagent les maux, et vous ne pouvez plus y mettre ordre. Vous avez