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qu’à un antre malsain et peu sûr, et où le voyageur ne s’arrête que pour laisser passer un orage.

145

Que l’homme s’unisse à Dieu, le bonheur l’embrasse et le suit partout.

Descend-il d’un degré, la langueur s’empare de lui.

Veut-il descendre encore plus bas : il va éprouver la privation, la contrainte, l’horreur de la souffrance et de la rage.

Voilà comment les hommes se fixent un destin ; et Dieu les prend ensuite dans l’état où ils se sont mis.

146

Il l’a dit et il ne trompe point ; il fait