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LA PHYSIOLOGIE CÉRÉBRALE.

il n’a eu, en fait de physiologie, aucune connaissance exacte. Nous ne devons donc point nous étonner que Voltaire ne soupçonne aucunement le rôle des nerfs. Il s’en tenait sur un pareil sujet aux opinions de son médecin et ami Tronchin, qui, lui-même, élève de Boerhaave, n’avait guère apporté de changements aux opinions de son maître.