pour porter la température de 1 kilogramme d’air de 0° à 0°,001 ;
2o La quantité nécessaire pour maintenir à ce degré 0°,001 la température de l’air lorsqu’il éprouve une dilatation de
La première de ces quantités de chaleur étant fort petite par rapport à la seconde, nous la négligerons. La seconde est, d’après le raisonnement de la pag. 44, égale à celle qui serait nécessaire pour accroître de 1° la température de 1 kilog. d’air soumis à la pression atmosphérique.
D’après les expériences de MM. Delaroche et Bérard sur la chaleur spécifique des gaz, celle de l’air est, à poids égaux, 0,267 de celle de l’eau. Si donc nous prenons pour unité de chaleur la quantité nécessaire pour élever de 1° un kilogramme d’eau, celle qui sera nécessaire pour élever de 1° un kilogramme d’air aura pour valeur 0,267. Ainsi la quantité de chaleur fournie par le corps A est
C’est là la chaleur capable de produire 0,000000372 unités de puissance motrice par sa chute de 0°,001 à 0°
Pour une chute mille fois aussi grande, pour une chute de 1°, la puissance motrice