tale, afin de vérifier si l’agent mis en œuvre pour réaliser la puissance motrice est réelle-
Si, pour abréger, l’on nomme N la quantité P267, l’équation deviendra :
d’où l’on tire, d’après l’équation (1),
Regardons t comme constant, et prenons l’intégrale des deux membres, nous aurons
Si l’on suppose r = 0 lorsque v = 1, on aura C = 0 ;
C’est là la puissance motrice produite par l’expansion de l’air, qui, sous la température t, a passé du volume 1 au volume v.
Si, au lieu d’opérer à la température t, on opère d’une manière absolument semblable à la température t + dt, la puissance développée sera
Retranchant l’équation (2), il vient
Soit e la quantité de chaleur employée à maintenir la température du gaz à un degré constant pendant sa dilatation : d’après le raisonnement de la page 40, δr sera la puissance développée par la chute de la quantité e de chaleur du degré t + dt au degré t. Si nous nommons u la puissance motrice développée par la chute d’une unité de chaleur du degré t au degré 0°, comme, d’après le principe général établi pag. 38, cette quantité u doit dépendre uni-