agréable ; recherchant un temple plus mystérieux,
c’est souvent ici (elle écarte ses fesses
et montre le trou de son cul) que le libertin
cherche à jouir : nous reviendrons sur cette
jouissance la plus délicieuse de toutes ; la
bouche, le sein, les aisselles lui présentent
souvent encore des autels où brûle son encens ;
et quel que soit enfin celui de tous les
endroits qu’il préfère, on le voit, après
s’être agité quelques instans, lancer une
liqueur blanche et visqueuse dont l’écoulement
plonge l’homme dans un delire assez
vif pour lui procurer les plaisirs les plus doux
qu’il puisse espérer de sa vie.
Oh que je voudrais voir couler cette liqueur !
Cela se pourrait par la simple vibration de ma main ; vois comme il s’irrite à mesure que je le secoue, ces mouvemens se nomment pollution, et en terme de libertinage cette action s’appelle branler.