mon tour, et que je vous demande, Dolmancé,
dans quel état il faut pour le complément
des plaisirs de l’agent, que se trouve
le cul du patient ?
Plein, très-assurément ; il est essentiel que l’objet qui sert, ait alors la plus complette envie de chier, afin que le bout du vit du fouteur, atteignant l’étron, s’y enfonce et y dépose plus chaudement et plus mollement le foutre qui l’irrite et qui le met en feu.
Je craindrois que le patient y prît moins de plaisir.
Erreur ! cette jouissance est telle qu’il est impossible que rien lui nuise, et que l’objet qui la sert ne soit transporté au troisième ciel en la goûtant : aucune ne vaut celle-là, aucune ne peut aussi complettement satisfaire l’un et l’autre des individus qui s’y livrent ; il est difficile que ceux qui l’ont goûté puissent reve-