sont vraies, et combien, je les aime ! Une
chose seulement m’inquiète, chère amie,
dans ce que tu viens de me dire, et comme
je ne l’entends point, je te supplie de me
l’expliquer. Ton mari, prétends-tu, ne s’y
prends pas, dans la jouissance, de maniére à
avoir des enfans, que te fait-il donc je t’en
prie ?
Mon mari était déjà vieux quand je l’épousai ; dès la première nuit de ses noces, il me prévint de ses fantaisies, en m’assurant que de son côté, jamais il ne gênerait les miennes, je lui jurai de lui obéir, et nous avons toujours, depuis ce temps-là, vécu tous deux dans la plus délicieuse liberté ; le goût de mon mari consiste à se faire sucer, et voici le très-singulier épisode qu’il y joint ; pendant que, courbée sur lui mes fesses à-plomb sur son visage, je pompe avec ardeur le foutre de ses couilles, il faut que je lui chie dans la bouche… il avale.
Voilà une fantaisie bien extraordinaire.