sentir du foutre dans le cul, je ne le rends jamais
quand j’en ai.
En vérité, je n’en puis plus… dites-moi maintenant, mes amis, si une femme doit toujours accepter la proposition d’être ainsi foutue quand on la lui fait.
Toujours, ma chere, toujours elle doit faire plus ; même comme cette maniere de foutre est délicieuse elle doit l’exiger de ceux dont elle se sert, mais si elle dépend de celui avec lequel elle s’amuse, si elle espere en obtenir des faveurs, des présens ou des graces, qu’elle se fasse valoir, qu’elle se fasse presser ; il n’y a pas d’homme de ce goût, qui dans pareil cas, ne se ruine avec une femme assez adroite pour ne lui faire de refus qu’avec le dessein de l’enflammer davantage ; elle en tirera tout ce qu’elle voudra, si elle possede bien l’art de n’accorder qu’à propos ce qu’on lui demande.
Eh bien, petit ange, es-tu convertie ; cesses-