il n’est pas tard… ils vont se reposer ; vous avez des amis
dans la capitale… vous m’entendez Monsieur Fabrice.
Des amis !… oui j’en ai ; mais il est d’autres moyens… des moyens plus sûrs, et qui j’espère réussiront. Expliquez-moi…
Taisons-nous… Une voiture arrive… Nous passerons tout-à-l’heure dans votre chambre ; là, je vous instruirai plus amplement… Quel tapage ! n’en doutons point, c’est Monsieur le Comte : le vice devrait-il marcher avec autant d’éclat !
Je voudrais que votre Comte fut logé à tous les diables. C’est un terrible métier que celui de maître d’une maison garnie, quand il faut ouvrir sa porte à toutes sortes de gens… Il n’y aura jamais que cela qui me dégoûtera de la profession.
Scène II.
Monsieur, ce sont deux dames qui viennent loger ici de la part de Monsieur le Comte Oxtiern : lui-même les suit de fort près ; il s’est arrêté avec son ami,