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OXTIERN,


de cet homme atroce ; et nous verrons, si cette main exercée au combat… conduite par la plus légitime vengeance, aura pour guide le Dieu qui protège l’honneur ! Allons faire part de ces résolutions au perfide Comte, mais déguisons-les à ma fille… Je veux qu’elle n’apprenne le combat que par mon triomphe… Oui, mon triomphe, il est sûr ; c’est un monstre que je vais punir ; et la providence est trop sage pour laisser écraser la vertu sous les perfides attentats du vice et de la scélératesse.


Fin du second acte.