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l’air y circulait à peine, y a-t-il, poursuivit-elle, d’autres êtres que des bêtes féroces qui puissent habiter ce séjour ? que les abords ne vous révoltent pas, répondit Charles, les dedans vous dédommageront.
Après bien des peines et des fatigues, puisqu’aucune voiture ne pouvait parvenir dans ce lieu, Laurence y arrive enfin, et reconnaît qu’effectivement rien ne manque dans ce séjour solitaire, de tout ce qui peut y rendre la vie agréable ; une fois descendu dans ce bassin, indépendamment d’un château commode et parfaitement meublé, on trouvait des parterres, des bosquets, des potagers et des pièces d’eau[1].
Les premiers instans se passèrent à
- ↑ Cette habitation n’est point prise dans un pays des chimères, l’auteur l’a vue et décrite sur les lieux même ; elle est à quatre mille au nord de Valombroza, dans la même forêt ; elle n’appartient plus aux Strozzi.
et dans l’Appenin, singulièrement triste et sombre.