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LAURENCE
ET
ANTONIO,
NOUVELLE ITALIENNE.
Les malheurs de la bataille de Pavie, le caractère atroce et fourbe de Ferdinand, la supériorité de Charles-Quint, le crédit singulier de ces fameux marchands de laine, prêts à partager le trône Français, et déjà sur celui de l’église[1]. La situation de Florence assise au centre de l’Italie et paraissant faite pour la dominer ; la réunion de toutes ces causes, en faisant désirer le sceptre de cette capitale, ne semblait — elle pas le desti-
- ↑ C’est Léon X, de la maison de Médicis, dont il s’agit ici.