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on l’ôte et le remet ainsi plusieurs jours de suite jusqu’à la mort.

120. Il fait polluer et exténuer un jeune garçon par une jolie fille ; il s’épuise, on ne le nourrit point, et il meurt dans des convulsions terribles.

121. Il lui fait dans le même jour l’opération de la pierre, du trépan, de la fistule à l’œil, de celle à l’anus. On a bien soin de les manquer toutes, puis on l’abandonne ainsi sans secours jusqu’à la mort.

122. Après avoir coupé tout ras le vit et les couilles, il forme un con au jeune homme avec une machine de fer rouge qui fait le trou et qui cautérise tout de suite ; il le fout dans cette ouverture et l’étrangle de ses mains en déchargeant.

123. Il l’étrille avec une étrille de cheval ; quand il l’a mis en sang de cette manière, il le frotte d’esprit-de-vin qu’il allume, puis étrille encore, et refrotte d’esprit-de-vin qu’il enflamme, et toujours ainsi jusqu’à la mort.

Ce même soir, on présente Narcisse aux vexations ; on lui brûle les cuisses et le vit, on lui écrase les deux couilles. On reprend Augustine, à la sollicitation du duc qui est acharné sur elle ; on lui brûle les cuisses et les aisselles, on lui enfonce un fer chaud dans le con. Elle s’évanouit ; le duc n’en devient que plus furieux ; il lui coupe un téton, boit son sang, lui casse les deux bras et lui arrache le poil du con, toutes les dents, et lui coupe tous les doigts des mains qu’il cautérise avec le feu. Il couche encore avec elle, et, à ce qu’assure la Duclos, il la fout en con et en cul toute la nuit, en lui annonçant qu’il l’achèvera le lendemain. Louison paraît ; on lui casse un bras, on la brûle à la langue, au clitoris, on lui arrache tous les ongles et on lui brûle le bout des doigts ensanglantés. Curval la sodomise en cet état, et, dans sa rage, foule et pétrit de toute sa force un téton de Zelmire en déchargeant. Non content de cet excès, il la reprend et la fouette à tour de bras.

Le vingt-quatre.

124. Le même que le quatrième du 1er janvier de Martaine veut enculer le père au milieu de ses deux enfants, et, en déchargeant d’une main, il poignarde un de ces enfants, de l’autre il étrangle le second.

125. Un homme, dont la passion était de fouetter des femmes grosses sur le ventre, a pour seconde d’en assembler six au terme de huit mois. Il les lie toutes, dos à dos, présentant le ventre ; il fend l’estomac de la première, il perce celui de la seconde à coups de couteau, donne cent coups de pied dans celui de la troisième, cent coups de bâton sur celui de la