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à cheval, on le lui enfonce, un boulet de canon à chaque pied, et on la laisse ainsi mourir à petit feu.

87. Un fustigateur pèle la fille trois fois ; il enduit la quatrième peau d’un caustique dévorant qui la fait mourir dans des douleurs horribles.

88. Un homme, dont la première passion était de couper un doigt, a, pour seconde, de saisir un morceau de chair avec des tenailles rouges ; il coupe avec des ciseaux ce morceau de chair, puis il brûle la plaie. Il est quatre ou cinq jours à décharner ainsi, peu à peu, tout le corps, et elle meurt dans les douleurs de cette cruelle opération.

Ce soir-là, on punit Sophie et Céladon, qui ont été trouvés s’amusant ensemble. Tous deux sont fouettés sur tout le corps par l’évêque, à qui ils appartiennent. On coupe deux doigts à Sophie et autant à Céladon, qui guérit tout de suite. Ils n’en servent pas moins, après, aux plaisirs de l’évêque. On remet Fanchon sur la scène, et, après l’avoir fouettée avec un nerf de bœuf, on la brûle à la plante des pieds, à chaque cuisse par-devant et par-derrière, au front, dans chaque main, et on lui arrache ce qui lui reste de dents. Le duc a presque toujours le vit dans son cul pendant qu’on l’opère. (Dites qu’on a prescrit pour loi de ne point gâter les fesses que le jour même du dernier supplice.)

Le dix-sept.

89. Celui du 30 janvier, de Martaine, et qu’elle a conté le 5 février, coupe les tétons et les fesses d’une jeune fille, les mange, et met sur les plaies des emplâtres qui brûlent les chairs avec une telle violence qu’elle en meurt. Il la force à manger aussi de sa propre chair qu’il vient de couper et qu’il a fait griller.

90. Un bougre fait bouillir une petite fille dans une marmite.

91. Un bougre la fait rôtir toute vive à la broche en venant de l’enculer.

92. Un homme, dont la première passion était de faire enculer des garçons et des filles devant lui par de très gros vits, empale par le cul, et laisse mourir ainsi, en observant les contorsions de la fille.

93. Un bougre attache une femme sur une roue, et, sans lui avoir fait aucun mal avant, la laisse ainsi mourir de sa belle mort.

Ce soir-là, l’évêque très en feu veut qu’Aline soit tourmentée ; sa rage contre elle est au dernier période. Elle paraît nue, il la fait chier et l’encule, puis, sans décharger, sortant plein de fureur de ce beau cul, il lui donne un lavement d’eau bouillante qu’on l’oblige de rendre ainsi tout bouillant sur le