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79. Il aimait à tordre un doigt, et, pour seconde, il casse tous les membres, arrache la langue, crève les yeux, et laisse vivre ainsi, en diminuant tous les jours la nourriture.

80. Un sacrilège, le second dont a parlé Martaine le 3 janvier, attache un beau jeune garçon, avec des cordes, sur une croix très élevée, et le laisse là manger aux corbeaux.

81. Un qui sentait les aisselles et les foutait, et dont a parlé Duclos, pend une femme par les aisselles, liée de partout, et va la piquer tous les jours en quelque partie du corps, pour que le sang attire les mouches ; il la laisse ainsi mourir peu à peu.

82. Un homme, passionné pour le cul, rectifie en enterrant la fille dans un caveau où elle a de quoi vivre trois jours ; il la blesse avant pour rendre sa mort plus douloureuse. Il les veut vierges, et leur baise le cul pendant huit jours avant de les livrer à ce supplice.

83. Il aimait à foutre des bouches et des culs fort jeunes : il perfectionne en arrachant le cœur d’une fille toute vivante ; il y fait un trou, fout ce trou tout chaud, remet le cœur à sa place avec son foutre dedans ; on recoud la plaie, et on laisse la fille finir son sort sans secours ; ce qui n’est pas long dans ce cas-là.

Ce soir-là, Curval, toujours animé contre la belle Constance, dit qu’on peut bien accoucher avec un membre cassé, et, en conséquence, on casse le bras droit de cette infortunée. Durcet, le même soir, coupe un téton à Marie, qu’on a fouettée et fait chier auparavant.

Le seize.

84. Un fustigateur perfectionne en dégarnissant doucement les os ; il en pompe la moelle et il y verse du plomb fondu en place.

Ici, le duc s’écrie qu’il ne veut foutre en cul de sa vie, si ce n’est pas là le supplice qu’il destine à Augustine. Cette pauvre fille, qu’il enculait pendant ce temps-là, jette des cris et verse un torrent de larmes. Et comme, par cette scène, elle lui fait manquer sa décharge, il lui donne, en se branlant et déchargeant seul, une douzaine de soufflets qui font retentir la salle.

85. Un bougre hache, sur une machine préparée, la fille en petits morceaux ; c’est un supplice chinois.

86. Il aimait les pucelages de filles, et sa seconde est d’enfourcher une pucelle par le con avec un pieu pointu ; elle est là comme