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au-devant de lui, le supplièrent de se soumettre à ce que lui-même avait prescrit, et que puisque eux, qui avaient pour le moins autant envie d’enfreindre ces lois, s’y soumettaient cependant, il devait les imiter au moins par complaisance. Et comme on avait sur-le-champ envoyé chercher Julie qu’il aimait, elle s’empara de lui avec la Champville et Brise-cul, et ils passèrent tous trois dans le salon, où les autres amis, les rejoignant bientôt pour commencer les orgies, les trouvèrent aux prises, et Curval lâchant enfin son foutre, au milieu des plus lubriques postures et des épisodes les plus libertins. Durcet, aux orgies, se fit donner deux ou trois cents coups de pied au cul par les vieilles ; l’évêque, le duc et Curval par les fouteurs, et personne, avant d’aller se coucher, ne fut exempt de perdre plus ou moins de foutre, suivant la faculté qu’il en avait reçue de la nature. Comme on craignait quelque nouveau retour de la fantaisie déflorante que Curval venait d’annoncer, on fit coucher avec soin les vieilles dans la chambre des filles et des garçons. Mais ce soin ne fut pas nécessaire ; et Julie, qui s’en empara toute la nuit, le rendit le lendemain à la société aussi souple qu’un gant.