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avez vous-même exigé, et vous verrez que nous viendrons au tour des libertins singuliers dont vous parlez là. »

Cette bande a été écrite en vingt soirées, de sept à dix heures, et est finie ce 12 septembre 1785.
Lisez le reste au revers de la bande. Ce qui suit fait la suite de la fin du revers.

« Deux jours après, ce fut mon tour. On m’avait prévenue, et je me retenais depuis trente-six heures. Mon héros était un vieil aumônier du roi, perclus de goutte comme le précédent. Il ne fallait l’approcher que nue, mais le devant et le sein devaient être couverts avec le plus grand soin ; on m’avait recommandé cette clause avec la plus grande exactitude, en m’assurant que s’il venait malheureusement à découvrir la plus petite apparence de ces parties, je ne viendrais jamais à bout de le faire décharger. J’approche, il examine attentivement mon derrière, me demande mon âge, s’il est vrai que j’aie une forte envie de chier, de quelle espèce est ma merde, si elle est molle, si elle est dure, et mille autres questions qui me paraissaient l’animer, car peu à peu, tout en causant, son vit dressa et il me le fit voir. Ce vit, d’environ quatre pouces de long sur deux ou trois de circonférence, avait malgré son brillant, un air si humble et si piteux, qu’il fallait presque des lunettes pour se douter de son existence. Je m’en emparai pourtant, à la sollicitation de mon homme, et voyant que mes secousses irritaient assez bien ses désirs, il se mit en train de consommer le sacrifice. “Mais est-elle bien réelle, mon enfant, me dit-il, cette envie de chier que vous m’annoncez ? Car je n’aime pas à être trompé. Voyons, voyons, si vous avez réellement de la merde dans le cul.” Et en disant cela, il m’enfonce le doigt du milieu de sa main droite dans le fondement, pendant que de sa gauche, il soutenait l’érection que j’avais excitée sur son vit. Ce doigt sondeur n’eut pas besoin d’aller loin pour se convaincre du besoin réel dont je l’assurais. À peine eût-il touché qu’il s’extasiait : “Ah, ventredieu ! dit-il, elle ne me trompe pas, la poule va pondre et je viens de sentir l’œuf.” Le paillard enchanté me baise à l’instant le derrière, et voyant que je le presse et qu’il ne me devient plus possible de retenir, il me fait monter sur une espèce de machine assez semblable à celle que vous avez ici, messieurs, dans votre chapelle : là, mon derrière, parfaitement exposé à ses yeux, pouvait déposer son cas dans un vase placé un peu au-dessous, à deux ou trois doigts de son nez. Cette machine avait été faite pour lui, et il en faisait un fréquent usage, car il ne passait guère de jour sans venir chez la Fournier pour pareille expédition, tant avec des étrangères qu’avec des filles de la maison. Un fauteuil, placé au-dessous du cercle qui supportait mon cul, était le trône du personnage. Dès qu’il me voit en attitude, il se place et m’ordonne de commencer. Quelques pets préludent ; il les respire. Enfin l’étron paraît ; il se pâme : “Chie, ma