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fer, avec chacune un enfant, on échauffe en dessous la cage, à mesure que la plaque s’échauffe, elles cabriolent, prennent leurs enfants dans leurs bras, et finissent par tomber et mourir ainsi (on y a renvoyé de quelque part plus haut, voyez où). 133. Il aimait à piquer avec une aleine et il perfectionne en enfermant une femme grosse dans un tonneau rempli de pointes, puis il fait rouler le tonneau fortement dans un jardin. — Constance a eu autant de chagrin à ces récits de supplices de femmes grosses, que Curval a eu de plaisir ; elle ne voit que trop son sort, comme il approche, on croit pouvoir commencer à la vexer, on lui brûle les cuisses en six endroits, on lui laisse tomber de la cire d’Espagne,238) sur le nombril, et on lui pique les tetons avec des épingles. — Giton paraît, on lui enfonce une aiguille brûlante dans la verge de part en part, on lui pique les couilles, on lui arrache quatre dents ; puis arrive Zelmire, dont la mort approche, on lui enfonce un fer rouge dans le con, on lui fait six blessures sur le sein, et douze sur les cuisses, on lui pique fort avant le nombril, elle reçoit vingt soufflets de chaque ami ; on lui arrache quatre dents, on la pique dans un œil, on la fouette et on l’encule, en la sodomisant, Curval son époux, lui annonce sa mort pour le lendemain, elle s’en félicite en disant que ce sera la fin de ses maux. — Rosette paraît, on lui arrache quatre dents, on la marque d’un fer chaud sur les deux omoplates, on la coupe sur les deux cuisses et aux gras de jambes, puis on l’encule en lui paîtrissant les tetons. Thérèse paraît et on lui crève un œil et on lui donne cent coups de nerf-de-bœuf sur le dos. Le vingt-six. [585 —
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134. Un bougre se place au bas d’une