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granges et de Duclos. Curval l’encule pour la dernière fois, puis ils la font périr dans des supplices affreux qu’on vous détaillera. — Le vingt-trois. [570 —
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119. Il place un jeune garçon dans une machine qui le tire en le disloquant tantôt en haut, tantôt en bas ; il est brisé en détail, on l’ôte et le remet ainsi plusieurs jours de suite jusqu’à la mort. 120. Il fait polluer et exténuer un jeune garçon par une jolie fille, il s’apaise, on ne le nourrit pas et il meurt dans des convulsions terribles. 121. Il lui fait dans le même jour l’opération de la pierre du trépas, de la fistule à l’œil, de celle en l’anus ; on a bien soin de les manquer toutes, puis on l’abandonne ainsi sans secours jusqu’à la mort. 122. Après avoir coupé tout raz le vit et les couilles, il forme un con au jeune homme avec une machine de fer rouge, qui fait le trou et qui cautérise tout de suite, il le fout dans cette ouverture, et l’étrangle de ses mains en déchargeant. 123. Il l’étrille avec une étrille de cheval ; quand il l’a mis en sang de cette manière, il le frotte d’esprit de vin, qu’il enflamme et toujours ainsi jusqu’à la mort. — Ce même soir on présente Narcisse aux vexations ; on lui brûle les cuisses et le vit, on lui écrase les deux couilles. — On reprend Augustine à la sollicitation du duc, qui est acharnée sur elle, on lui brûle les cuisses et les aisselles, on lui enfonce un fer chaud dans le con, elle s’évanouit. Le duc n’en devient que plus furieux, il lui coupe un teton, boit son sang et lui casse les deux bras, et lui arrache le poil du con, toutes les dents et lui coupe tous les doigts des mains, qu’il cautérise avec le feu, il couche encore avec elle et à ce qu’assure la Duclos, il la fout en con et en cul