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dès qu’il a mangé, si c’est là le parti qu’il prend, il lui fait plusieurs blessures sur le corps, et le laisse mourir ainsi en perdant son sang, et s’il ne mange pas, il meurt de faim. 111. Il lui arrache les couilles et les lui fait manger, sans le lui dire, puis remplace les testicules par des boules de mercure de vif-argent et de soufre qui lui causent des douleurs si violentes qu’il meurt pendant ces douleurs ; il l’encule, et les lui augmente en le brûlant partout avec des mèches de soufre en l’égratignant et en brûlant sur les blessures. 112. Il le cloue par le trou du cul, sur un pieu très étroit, et le laisse finir ainsi. 113. Il encule et pendant qu’il sodomise, il enlève le crâne, ôte la cervelle et la remplace par du plomb fondu. — Ce soir-là Hyacinthe est livré pour le cul et rigoureusement fustigé avant l’opération. Narcisse est présenté, on lui coupe les 2 couilles. On fait venir Adélaïde, on lui passe une pelle rouge sur les cuisses par devant, on lui brûle le clitoris, on lui perce la langue, on la fouette sur la gorge, on lui coupe les deux boutons du sein, on lui casse les deux bras, on lui coupe ce qui lui reste de doigts, on lui arrache les poils du con, six dents et une poignée de cheveux, tout le monde décharge, excepté le duc qui bandant comme un furieux, demande à exécuter seul Thérèse, on lui accorde, il lui enlève tous les ongles avec un canif, et lui brûle les doigts à de bougies à mesure, puis il lui casse un bras, et ne déchargeant point encore, il enconne Augustine et lui arrache une dent, en lui lâchant son foutre dans le con. — Le vingt-deux. [565 —
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114. Il rompt un jeune garçon, puis l’attache sur la roue où il le laisse expirer, il y est tourné de manière à montrer les fesses de près