la suite. 60. Celui dont la Duclos parle dans sa vingt-huitième soirée veut voir accoucher une femme, il tue l’enfant au sortir du ventre de la mère et à ses yeux, et cela en faisant semblant de la caresser. — Ce soir-là Aline est d’abord fouettée jusqu’au sang de cent coups par chaque ami, ensuite on lui demande de la merde, elle l’a donnée le matin à Curval qui le nie ; en conséquence on la brûle aux deux seins, dans chaque creux de main, on lui laisse dégoutter de la cire d’Espagne sur les cuisses et sur le ventre. On lui en remplit le creux du nombril, on lui brûle le poil du con avec de l’esprit de vin ; le duc cherche querelle à Zelmire et Curval lui coupe deux doigts, un à chaque main. Augustine est fouettée sur la motte et sur le cul. — Le douze. [512 —
517]Les amis s’assemblent le matin et décident que les quatre vieilles leur devenant inutiles et pouvant être facilement remplacées dans leurs fonctions par les quatre historiennes, on doit s’en amuser et les martiriser l’une après l’autre à commencer dès le même soir. On propose aux historiennes de tenir leur place, elles acceptent sous la condition qu’elles ne seront point sacrifiées, on le leur promet. 61. Les trois amis : d’Ancourt, l’abbé et Desprès, dont Duclos a parlé le douze novembre s’amusent encore ensemble pour cette passion-ci ; ils veulent une femme grosse de huit à neuf mois, ils lui ouvrent le ventre, en arrachent l’enfant, le brûlent aux yeux de la mère, lui remettent en place dans l’estomac un paquet de souffre combiné avec le mercure et le vif argent qu’ils allument, puis ils recousent le ventre et la laissent ainsi mourir devant eux, dans des douleurs inouïes, en se faisant branler par cette fille, qu’ils ont avec eux (vérifiez le nom).
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