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l’endroit, où vous êtes enterrés pour voir, s’il n’entendra pas quelques cris, s’il en entend, il s’évanouit de plaisir, il a fait mourir ainsi une partie de sa famille. On fait prendre à Julie ce soir-là en badinant une poudre qui lui donne des tranchées affreuses, on lui dit qu’elle est empoisonnée, elle le croit, elle se désole, pendant le spectacle de ses convulsions le duc s’est fait branler en face d’elle par Augustine, elle a le malheur de recouvrir le gland avec le prépuce, ce qui est une des choses qui déplait le plus au duc, il allait décharger, ça l’en empêche ; il dit qu’il veut couper un doigt à cette bougresse-là et le coupe à la main, dont elle l’a manqué, pendant que sa fille Julie qui se croit empoisonnée, vient le faire décharger, Julie est guérie le même soir. — Le onze. [506 —
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55. Un bougre allait souvent chez des connaissances ou des amis, et ne manquait jamais d’empoisonner ce que cet ami avait de plus cher en créatures humaines. Il se servait d’une poudre qui faisait crever au bout de deux jours dans d’horribles douleurs. 56. Un homme, dont le goût était de molester la gorge, perfectionnait en empoisonnant des enfants sur le sein même des nourrices. 57. Il aimait à se faire des lavements de lait dans la bouche, et pour seconde il donnait des poisons, qui faisaient mourir dans d’horribles coliques d’entrailles. 53. Un bougre, dont elle aura occasion de reparler le treize et le vingt-six, aimait à mettre le feu dans des maisons des pauvres, et s’y prenait toujours de façon à ce qu’il y eut beaucoup de monde de brûlés et surtout des enfants. 59. Un autre bougre aimait à faire mourir des femmes en couche, en venant les voir, ayant sur lui une poudre dont l’odeur les jette dans des spasmes et des convulsions, dont la mort est