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Rosette aussi en cul (ils ont changé), et Adonis. Il est rendu. — Le huit. [488 —
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37. Il aimait à fouetter sur tout le corps avec un nerf-de-bœuf, et c’est le même, dont Martaine a parlé, qui rossait en effleurant trois membres et n’en cassant qu’un ; il aime à rouer tout à fait la femme. Mais il l’étouffe sur la croix même. 38. Celui dont Martaine a parlé qui fait semblant de couper très le cou de la fille et qu’on retire par une corde, la coupe très effectivement en déchargeant, il se branle. 39. Celui du trente janvier de la Martaine qui aimait à faire des scarifications, fait passer par les oubliettes. 40. Il aimait à fouetter des femmes grosses sur le ventre et perfectionne en laissant tomber sur le ventre d’une femme un poids énorme qui l’écrase sur-le-champ, elle et son fruit. 41. Il aimait à voir nu le col d’une fille, à le serrer, à le molester un peu, il enfonce une épingle vers la nuque dans un certain endroit dont elle meurt sur-le-champ. 42. Il aimait à brûler doucement avec une bougie sur différentes parties du corps, il perfectionne en jetant dans une fournaise, ardente, qui est si violente, qu’elle est à l’instant consumée. Durcet qui bande beaucoup et qui a été pendant les récits fouetter deux fois Adélaïde au pillier, propose de la mettre à travers dans le feu, et quand elle a eu tout le temps de frémir de la proposition qu’il ne s’en faut de rien que l’on n’accepte par accommodement on lui brûle les petits bouts des seins, Durcet, son mari, l’un, Curval, son père, l’autre. Tous deux déchargent à cette opération. — Le neuf. [494 —
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43. Il aimait à faire des piqûres d’épingles, et, pour seconde, décharge en donnant trois coups de poignard