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du corps soit pourri. 14. Il aimait à branler le clitoris, et il fait branler par un de ses gens une fille sur le clitoris jusqu’à la mort. 15. Un fustigateur en perfectionnant sa passion fouette jusqu’à la mort la femme sur toutes les parties du corps. — Ce soir-là le duc veut qu’Augustine soit branlée sur le clitoris qu’elle a très chatouilleux, par la Duclos et la Chanville, qui se relayent et qui la branlent jusqu’à l’évanouissement. — Le quatre. [467 —
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16. Il aimait à ferrer le cou et pour seconde, il attache la fille par le cou, devant elle est un grand repas, mais pour y atteindre il faut qu’elle étrangle elle-même ou qu’elle meure de faim. 17. Le même homme qui a tué la sœur de Duclos et dont le goût est de patiner longtemps les chairs paîtrit la gorge et les fesses d’une si furieuse force, qu’il fait mourir par ce supplice. 18. L’homme dont Martaine a parlé le vingt janvier et qui aimait à saigner les femmes les tue à force de saignées renouvelées. 19. Celui dont la passion était de faire courir une femme nue jusqu’à ce qu’elle tombe, et dont on a parlé, a pour seconde de l’enfermer dans une étuve brûlante où elle meurt comme étouffée. 20. Celui dont Duclos a parlé qui aimait à se faire emmaillotter et à qui la fille donnait sa merde au lieu de bouillie serre une femme si étroitement dans des langes, qu’il la fait mourir ainsi. — Ce soir-là un peu avant de passer au salon d’histoire, on a trouvé Curval enculant une des servantes de la cuisine, il paye l’amende, la fille a ordre de se trouver aux orgies où le duc et l’évêque l’enculent à leur tour, et elle reçoit deux cent coups de fouet de la main de chacun, c’est une grosse savoyarde de vingt-cinq ans assez fraîche et qui a un