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qu’elle ne peut bouger. Dès que le paillard est bien en feu, on le lâche, il se jette comme une bête féroce sur la fille et la mord sur toutes les chairs et principalement sur le clitoris, et le bout des tetons qu’il emporte ordinairement avec ses dents, il hurle, crie comme une bête, et décharge en hurlant, il faut que la fille chie, il va manger son étron à terre. — Ce même soir l’évêque dépucelle Narcisse, il est livré le même soir, pour ne pas déranger la fête du vingt-trois. Le duc avant de l’enculer, le fait chier dans sa bouche et y rendre le foutre de ses prédécesseurs, après l’avoir enculé il lui donne le fouet. — Le Vingt-deux. [404 —
408]
104. Il arrache des dents et égratigne les gencives avec des aiguilles, quelquefois il les brûle. 105. Il lui casse un doigt de la main, quelquefois plusieurs. 106. Il lui en aplatit vigoureusement un des pieds avec un coup de marteau. 107. Il lui démet un poignet. 108. Il lui donne un coup de marteau sur les dents de devant en déchargeant, son plaisir avant est de beaucoup sucer la bouche. Le duc ce soir-là dépucelle Rosette en cul, et à l’instant où le vit entre dans le cul, Curval arrache une dent à la petite fille pour qu’elle éprouve à la fois deux terribles douleurs. — Le même soir elle est livrée pour ne pas déranger la fête du lendemain ; quand Curval lui a déchargé dans le cul (et il n’a passé que le dernier) quand il a fait, dis-je, il jette la petite fille à la renverse par un soufflet à tour de bras. — Le Vingt-trois. À cause de la fête on n’en compte que quatre. [409 —
412]
109. On lui démet un pied. 110. Il lui casse un bras en l’enculant. 111. Il lui casse un os des jambes, d’un coup de barre de fer, et l’encule après. 112. Il la lie sur une échelle double ; les membres attachés en sens bizarre ;