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donnant, il couche avec elle, et l’enconne encore trois pendant la nuit. — Le vingt-six. [276 —
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126. Il fait soûler la fille, elle se couche, dès qu’elle dort on enlève son lit, elle se penche pour prendre son pot de chambre, vers le milieu de la nuit, ne le trouvant pas elle tombe, parce que le lit est en air et la culbute ; dès qu’elle se penche, elle tombe sur des matelas préparés. L’homme l’attend là et la fout dès qu’elle tombe. 127. Il la fait courir nue dans un jardin en la poursuivant avec un fouet de poste, dont elle est seulement menacée. Il faut qu’elle court jusqu’à ce qu’elle tombe de lassitude, c’est l’instant où il se jette sur elle et où il la fout. 128. Il fouette la fille par reprises de 10 coups jusqu’à cent, avec un martinet de soie noire, il baise beaucoup les fesses à chaque reprise. 129. Il fouette avec des verges trempées dans de l’esprit de vin, et ne décharge sur les fesses de la fille que lorsqu’il les voit en sang. Chanville ne conte que quatre passions ce jour-là parce que c’est la fête de la huitième semaine, on la célèbre par le mariage de Zéphire et d’Augustine, qui tous deux appartiennent au duc et qui couchent dans sa chambre, mais avant la célébration le duc veut que Curval fouette le garçon pendant qu’il fouette la fille, cela a lieu ; ils reçoivent chacun cent coups de fouet, mais le duc plus animé que jamais contre Zelmire parce qu’elle l’a beaucoup fait décharger la fouette jusqu’au sang. Il faudra ce soir-là expliquer ce que c’est que les pénitences, comment on y procède et quel nombre de coups de fouet on y reçoit, vous pourrez faire un tableau des fautes, avec à côté le nombre des coups. — Le vingt-sept. [280 —
284]
130. Il ne veut fouetter que des petites filles de cinq à sept ans, et