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trouvé un très gros et très large placard de merde, on l’assura qu’elle ne serait pas traitée avec autant de rigueur. — Curval qui bandait, s’en empara et lui ayant complètement torché l’anus, il se fit apporter l’étron qu’il mangea en se faisant branler par elle, et entremêlant le repas de force baisers sur la bouche, et d’injonction positive d’avaler à son tour tout ce qu’il lui rapportait de son propre ouvrage. On visita Augustine et Sophie, auxquelles il avait été recommandé, après leur scelle poussée de la veille, de rester dans l’état le plus impur, Sophie était dans la règle, quoiqu’elle eût couché chez l’évêque ainsi que sa place l’exigeait ; mais Augustine était de la plus grande propreté ; sûre de sa réponse, elle s’avança fièrement et dit qu’on savait bien, qu’elle avait couché suivant sa coutume chez M. le duc, et qu’avant de s’endormir, il l’avait fait venir dans son lit, où il lui avait sucé le trou du cul, pendant qu’elle lui branlait le vit avec sa bouche ; le duc interrogé dit qu’il ne se souvenait de cela, — quoique cela fût très vrai, — qu’il s’était endormi le vit dans le cul de la Duclos, qu’on pouvait approfondir le fait ; on mit à cela tout le sérieux et toute la gravité possibles, on envoya chercher Duclos, qui voyant bien ce dont il s’agissait, certifia tout ce qu’avait avancé le duc et surtout qu’Augustine n’avait été appellée qu’un instant au lit de Mgr. qui lui avait chié dans la bouche pour y revenir manger son étron. Augustine voulut soutenir sa thèse, et disputer contre la Duclos, mais on lui imposa silence et elle fut inscrite, quoique parfaitement innocente ; on passa chez les garçons, où Cupidon fut trouvé en faute, il avait dans son pot de chambre le plus bel étron, qu’on pût voir, le duc s’en