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procurassent la volupté de les punir. Pour cet effet, les amis s’étant assemblés extraordinairement ce matin-là pour raisonner sur cette affaire, on ajouta différents articles aux règlements, dont l’infraction devait nécessairement occasionner des punitions, d’abord on défendit expressément aux épouses, aux jeunes garçons et aux filles de péter ailleurs, que dans la bouche des amis, dès que cette envie lui prenait, il fallait sur-le-champ en aller trouver un, et lui administrer ce qu’on retenait, une forte peine inflictive fut affligée aux délinquents. On défendit de même absolument l’usage des bidets et des torchements de culs, il fut ordonné à tous les sujets généralement et sans aucune exception de ne se jamais laver, et de ne jamais sur toute chose torcher son cul, en revenant de chier ; que lorsque leur cul serait trouvé propre, il faudrait que le sujet prouva que c’était un des amis qui le lui avait nettoyé, et qu’il le cite, moyennant quoi l’ami interrogé ayant la facilité de dénier le fait, quand il le voudrait, se procurait à la fois deux plaisirs, celui de torcher un cul avec sa langue et celui de faire punir le sujet, qui venait de lui donner ce plaisir, — on en verra des exemples ensuite. — On introduisit une cérémonie nouvelle ; dès le matin au café, dès qu’on entrait dans la chambre des filles et de même, quand après cela on passait dans celle des garçons, chacun de ces sujets devait l’un après l’autre aller aborder chacun des amis, et lui dire à haute et intelligible voix : „Je me foute de Dieu ! Voulez-vous mon cul, il y a de la merde ?“ et ceux ou celles, qui ne prononceraient pas et la blasphémie et la proposition à haute voix, seraient sur-le-champ inscrits sur le fatal livre. On imagine aisément combien