les hanches et les fesses absolument comme une femme, son cul frais, gras, ferme et petite, mais excessivement ouvert par l’habitude de la Sodomie. Son vit est extraordinairement petit, à peine a-t-il 2 pouces de tour et 4 de long, il ne bande absolument plus, ses décharges sont rares et fort pénibles, pas abondantes et toujours précédées des spasmes qui le jettent dans une espèce de fureur qui le porte au crime. Il a de la gorge comme une femme, une voix douce et agréable, et fort honnête en société quoique sa tête soit pour le moins aussi dépravée que celle de ses confrères, camarade d’école du duc ils s’amusent encore journellement ensemble, et l’un des grands plaisirs de Durcet est de se faire chatouiller l’anus par le membre énorme du duc.25)
Tels sont en un mot, cher lecteur, les quatre scélérats avec lesquels je vais te faire passer quelque mois. Je te les ai dépeints de mon mieux pour que tu les connaisses au fond et que rien ne t’étonne dans le récit de leurs différents écarts. Il est impossible d’entrer dans le détail particulier de leurs goûts, j’aurais nui à l’intérêt et la place principale de cet ouvrage en te les divulguant. Mais à mesure que le récit s’acheminera on n’aura qu’à les suivre avec attention et l’on démêlera facilement leurs petits péchés d’habitude et l’espèce de manie voluptueuse qui les flatte le mieux chacun en particulier. Tout ce que l’on peut dire à présent engros c’est qu’ils étaient généralement susceptibles du goût de la Sodomie, que tous quatre se faisaient enculer régulièrement. Et que tous quatre idolâtraient les culs, le duc cependant relativement à l’immensité de la construc-