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dit Curval. — „Trente ans à-peu-près,“ dit Duclos. — „Oh, ce n’est rien que cela,“ répondit Curval, „Durcet vous dira quand vous voudrez, que nous avons connu un homme qui faisait la même chose et positivement avec les mêmes circonstances, mais avec un homme de 60 ou 70 ans, qu’il fallait prendre dans tout ce que la lie du peuple a de plus crapuleux.“ — „Mais il n’est joli que comme cela,“ dit Durcet, dont le petit engin commençait à lever le nez, depuis l’aspersion de Sophie, „je parie quand on voudra le faire avec le doyen des invalides.“ — „Vous bandez, Durcet,“ dit le duc, „je vous connais : quand vous commencez à devenir sale, c’est que votre petit foutre bouille, tiens, je ne suis pas le doyen des invalides, mais pour satisfaire votre intempérance, je vous offre ce que j’ai dans les entrailles, et je crois que cela sera copieux.“ — „Oh, ventre Dieu,“ dit Durcet, „c’est une bonne fortune que cela, mon cher duc.“ — Le duc acteur se rapprochant, Durcet s’agenouille au bas des fesses, qui vont le combler d’aise. Le duc pousse, le financier avale, et le libertin, que cet excès de crapule transporte, décharge en jurant qu’il n’eut jamais tant de plaisir. „Duclos,“ dit le duc, „viens me rendre ce que j’ai fait à Durcet.“ — „Mgr.,“ répondit notre historienne, „vous savez que je l’ai fait ce matin et que vous l’avez même avalé.“ — „Ah, c’est vrai, c’est vrai,“ dit le duc. — „Eh bien, Martaine, il faut donc, que j’aie recours à toi, car je ne veux pas d’un cul d’enfant, je sens que mon foutre veut partir, et pourtant, qu’il ne se rendra qu’avec peine, moyennant quoi je veux d’une singulière manie.“ — Martaine était dans le cas de Duclos, Curval l’avait fait chier le matin.