au trou, l’adonis était un vieux médecin, mais pourtant plus jeune qu’elle ; dès qu’il la tient, il la baise sur la bouche un quart d’heure, puis lui faisant présenter un vieux fessier ridé, qui ressemblait au pis d’une vieille vache, il le baisa et suça avec avidité, on apporte une seringue et 3 demies bouteilles de liqueurs. Le sectateur d’Aesculape darda au moyen de la seringue l’anodine boisson dans les entrailles de son Iris, elle reçoit, elle garde, cependant le médecin ne cesse pas de la baiser, de la lécher dans toutes les parties de son corps. „Ah, mon ami,“ dit à la fin la vieille maman, „je ne puis plus, je ne puis plus, prépare-toi, mon ami, il faut que je rende.“ — L’écolier de Salerne, s’agenouille, tire de sa culotte un chiffon noir et ridé, qu’il branla avec emphase, la Fournier lui colla son grand vilain fessier sur la bouche, elle pousse, le médecin boit, quelques étrons sans doute se mêlent aux liquides, tout passe ; le libertin décharge et tombe ivre, mort à la renverse. C’était ainsi que ce débauché satisfaisait à la fois deux passions, son ivrognerie et sa lubricité.“ — „Un moment,“ dit Durcet, „ces excès-là me font toujours bander. Desgranges,“ continua-t-il, „je te suppose un cul assez semblable à celui, que Duclos vient de peindre, viens me l’appliquer sur la face.“ La vieille maquerelle obéit, „lâche, lâche,“ lui dit Durcet, dont la voix paraissait étouffée sous ce duplicate de fesses épouvantable, „lâche, bougresse, lâche, si ce n’est pas de liquide, ce sera de dur, et j’avalerai toujours !“ Et l’opération se termine, pendant que l’évêque fait autant avec Antinous, Curval avec Fanchon, et le duc avec Louison, mais nos quatre athlètes férus à glace
Page:Sade - Les 120 Journées de Sodome, éd. Dühren, 1904.djvu/269
Cette page a été validée par deux contributeurs.