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éclaircissez-nous, je vous prie, deux ou trois objets essentiels de cette dernière partie. Quand vous célébrâtes vos orgies après les tête-à-têtes, l’abbé qui n’avait jusque là caressé que son bardache, lui fit-il infidélité, et vous mania-t-il, et les autres en firent-ils à leurs femmes pour caresser le jeune homme ?“ — „Mgr.,“ dit Duclos, „jamais l’abbé ne quitta son jeune garçon à peine jeta-t-il même des regards sur nous, quoique nous fussions nues et à ses côtés, mais il s’amusa des culs de d’Aucourt, de Desprès et de d’Erville, il les baisa, il les gamahucha, d’Aucourt et d’Erville lui chièrent dans la bouche, et il avala plus d’une moitié de ces deux étrons, mais pour les femmes, il ne les toucha pas.156) Il n’en fut pas de même des trois autres amis, relativement à son jeune bardache, il le baisèrent, lui léchèrent le trou du cul, et Desprès s’enferma avec lui pour, je ne sais quelle, opération.“ „Bon,“ dit l’évêque, „vous voyez, que vous n’aviez pas tout dit, et que ceci, que vous ne nous contiez pas forme une passion de plus, puisqu’elle offre l’image du goût d’un homme qui se fait chier dans la bouche par d’autres hommes quoique fort âgées.“ — „Cela est vrai, monseigneur,“ dit Duclos, „vous me faites encore sentir mieux mon tort, mais je n’en suis pas fâchée, puisque au moyen de cela, voici ma soirée finie, et qu’elle n’était déjà que trop longue157) une certaine cloche, que nous allons entendre m’aurait convaincue que je n’aurais pas eu le temps de terminer la soirée par l’histoire que j’allais entamer et sous votre bon plaisir nous la remettrons à demain.“ Effectivement la cloche sonna et comme personne n’avait déchargé de la soirée et que tous les vits étaient pourtant très en